Mon silence n'est qu'un regard
dans la noirceur, sombre et incompréhensible
Sans raisons, personne n'a le courage
de distinguer ses propres fautes, interprète
Des choix, j'en ai plus toujours
l'éternité n'est qu'une retraite de la réalité
Quelques pensés sont sans émotions
incomparables aux tragédies soufertes, injustes
Les corridors, longs et étroits continuent
sans fin, sans passage à l'extérieur
Toutes impressions, ne restent que parfois
et ils sont distinct du jour au lendemain
Observations, fortes et en mémoire
tant de misère dans nos vies, irréelles
Mon silence n'est qu'un regard
dans la noirceur, sombre et incompréhensible
*février 1997*
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